Mois : mars 2024

Notre interview sur Nicolas Julo

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Durant la matinée du vendredi 22 mars, nous avons eu la chance de recevoir Nicolas Julo. C’est un illustrateur de bande dessinée pour les adolescents et pour les enfants. Il est l’illustrateur de la série de la bande dessinée « les aventures en Chartreuse. »

Avant sa venue, nous avons cherché quelques informations sur lui. Toutes nos informations n’étaient pas justes. Par exemple, nous avons trouvé qu’il était né le 1er janvier 1966 alors qu’enfaite il est né le 26 juin 1966. Ensuite, il nous a expliqué que pour faire une BD de 50 pages, il lui faut 1an. Il lui a fallu plus de 3 ans pour faire celle qu’il a illustré et écrite seul.

Voici les explications de Nicolas Julo sur le processus de création d’une BD (Tous les mots qui ont une * seront expliqués à la fin de l’article) : 

  • D’abord, il faut un scénario*. Dans le cas de ses BD pour les adolescents, Mme Muriel Zürcher était la scénariste.
  • Ensuite arrive la création des personnages. Pour le cas de Nicolas Julo, il devait s’entrainer à dessiner Alex et Melyie. Il faut d’abord les imaginer pour cela il faut aussi faire plusieurs essais. Ensuite, il faut s’exercer à les reproduire pour qu’ils soient toujours reconnaissables.
  • Après il faut penser à l’organisation des vignettes*, des personnages et des bulles*. Par exemple, Nicolas Julo doit réfléchir judicieusement aux placements des personnages, des bulles, à la taille des vignettes et à l’emplacement des vignettes sur la planche*.
  • Il doit aussi faire un storyboard*
  • Puis, il doit prendre une deuxième feuille pour faire le crayonné. A ce moment là, il ne doit pas être super précis : c’est un brouillon pour voir à quoi ressemblera la page.
  • L’encrage est le moment où il met de la couleur sur ses dessins. Nicolas Julo fait son encrage sur l’ordinateur (Photoshop).
  • Par la suite, il doit imaginer la couverture de son livre. A ce moment, il doit imaginer une couverture assez intrigante pour donner aux lecteurs l’envie de lire sans dévoiler toute la bande dessinée.
  • Puis il donne ses créations à l’éditeur, qui va imprimer les livres et les diffuser dans les librairies

Voici quelques mots de vocabulaire de BD :

*Un scénario : dans une bande dessinée, le scénario représente l’histoire, le récit, par opposition au graphisme.

*Case (ou Vignette): Une case est un dessin encadré dans une bande dessinée. Elle peut varier en taille, allant d’une simple image à la dimension d’une page entière (appelée case-planche).

*Une bulle : en bande dessinée, les bulles sont des éléments graphiques qui contiennent le texte des dialogues ou monologues prononcés par un ou plusieurs personnages dans une case.

*Une planche : une planche est la page sur laquelle l’histoire est racontée.

*Un storyboard :En bande dessinée, le storyboard est une succession de dessins qui traduit visuellement ce qui est écrit dans le scénario. Il préfigure la mise en page des cases, la composition des images, et l’ordre des scènes.

Bianca ✨ et Luce

 

L’œuvre de la semaine n°4

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Le Printemps

Il s’agit d’un concerto écrit par Antonio VIVALDI en 1725.

Installe-toi confortablement pour écouter ce concerto.

 

Sur la petite feuille blanche, dessine ce que cette musique évoque pour toi.

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Que ressens-tu ?
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Mot du jour 7/03

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Bonjour,
Le mot que je propose est ardu.

Ardu adjectif : Difficile à résoudre ou à accomplir. Lorsque quelque chose est ardu, cela signifie qu’il est difficile, exigeant ou laborieux à résoudre ou à réaliser. Par exemple :  » Ce problème de proportionnalité est très ardu car nous nous creusons beaucoup trop la tête.  »

Bianca ✨

L’œuvre de la semaine n°2

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La Moldau

Il s’agit d’un poème symphonique composé par Bedrich SMETANA en 1874.

Installe-toi confortablement pour l’écouter jusqu’au bout (environ 13 minutes).

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Ma première compétition internationale de golf en Espagne

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Bonjour les amis,

J’aimerais vous partager mon expérience en Espagne. J’ai participé au tournoi « World Junior Golf Champions hip au Villa Padierna, Marbella, Espagne. » C’est un tournoi qui réunit 250 des meilleurs joueurs d’Europe mais aussi du reste du monde. Le tournoi a commencé par un concours de putting, j’ai fini deuxième dans ma catégorie u10-u11.

Ensuite, il y avait la parade des nations c’est lorsque tous les joueurs se réunissent et un joueur va présenter le drapeau de son pays.

Le lendemain, j’ai fait la reconnaissance du parcours. C’est le moment où j’ai fait le parcours pour en connaitre tous les détails. Pendant la reconnaissance du parcours, j’ai joué avec un de mes amis qui s’appelle Léo. Il vient d’Irlande. Le tournoi dure trois jours, chaque jour il faut jouer dix-huit trous et dix-huit trous durent quatre heures et demie en moyenne.

Le premier jour, j’ai bien joué et pendant la partie j’étais un peu stressé car c’était ma première compétition de l’année mais après neuf trous j’étais content et relaxé. Le deuxième jour, j’avais très bien commencé mais au trou numéro quinze c’est là que tout a déraillé… J’étais un peu fatigué car j’avais déjà joué un jour ! Mais j’ai appris qu’au golf il ne faut jamais baisser les bras sinon ça va mal se passer. Le troisième jour j’ai mieux joué que les deux derniers jours, j’étais précis presque à chaque coup car le golf est un jeu de précision. Quand j’ai découvert le résultat final, j’étais assez content car j’étais le meilleur joueur français de ma catégorie et j’étais numéro dix-huit sur quarante-cinq joueurs.

Cette expérience m’a permis de rencontrer des enfants sympas et qui aiment le golf comme moi.

Alex